jeudi 8 août 2013

Carte postale de Cauterets

Saxifrages fleuries




La Vie, c’est quoi la Vie ?
Est-ce fait pour apprendre ?
J’entends tous les avis,
Et ne sais lequel prendre

Des prophètes sagesse,
Barbarie des « barbus »,
Cri d’amour de Jésus,
Ou de Gaïa détresse ?

Pourquoi tant de questions,
Et pourquoi tant de doutes,
Vois donc, la solution
Est au bord de ta route !

Saxifrages fleuries
Aux fentes du rocher,
Vous offrez pour la Vie
Un sens et un nocher.





mercredi 7 août 2013

Poupée danseuse de claquettes

Le modèle original, vu sur Internet, était un "nègre" nord-américain qui dansait des claquettes, un vrai, bien noir, bien typique des année 30, environ.
Mais, maintenant, déjà qu'on ne peut plus dire "nègre", car il faut dire "black", en français dans le texte... (où est passée la saine "négritude" du noble Léopold Sedar Senghor?), et parce que je voyais mieux dans le rôle une belle jeune fille, c'est ce que j'ai fait à la place.

C'est une poupée qui danse des claquettes; ici elle est assise.
Lorsqu'on referme la pince tenue en main, elle se met debout, et lorsqu'on relâche, ses pieds vont claquer sur la planchette.
Il ne reste qu'à trouver le rythme!



La "Tome du Ramier", ou La Ferme du Ramier, à Montauban

Une bribe d'éternité

L' "éternité", ça existe vraiment?
Est-ce ce qui n'a "ni commencement ni fin" (?) comme le dit le Catéchisme?
Est-ce le cercle, le Cercle des temps cycliques des anciennes civilisations, toujours préservés et toujours rituellement recommencés?
Et si c'était plutôt l'absence de temps, être hors du temps, -et du lieu-, donc des contingences de la vie ordinaire?
Et si "le "temps du jeu" c'était précisément ça, un non-temps où l'on s'immerge dans "le sacré", le temps du rite, celui qui ressource, qui fait "reset", pour parler le langage des ordinateurs?
Et bien, notre homme, lui, il y est pleinement dans le temps du jeu, et le monde peut s'écrouler alentour; rien n'y fera!


Il aura eu sa bribe d'éternité, de sacré éternel. Car il n'y a pas d'âge pour se ressourcer!
Ça valait bien le déplacement, non? 


Post Scriptum:
 Une suite particulièrement sympa à cette journée rustique:
MERCI, LAURENT!

"Bonjour,